MAIRIE DE CHAVROCHES
CARTES POSTALE DE LA GUERRE DE 1914
REGARD D'HISTOIRE / CHAVROCHES 1852
Pour comprendre la situation actuelle et aussi "relativiser" cette crise sanitaire, il peut être utile de se plonger dans les archives.
Voici, rapidement traité, le compte-rendu de la crise sanitaire qu'a connu la commune de Chavroches en 1852. On a oublié, qu'il n'y a pas si longtemps, la vie était fragile et que celle des enfants l'était plus encore.
Ci-dessous une gravure représentant Chavroches à cette époque. Cliquer sur le lien, pour lire l'étude sur Chavroches en 1852.
ÉGLISE DE CHAVROCHES
La municipalité a édité une plaquette de présentation de l'église de Chavroches, construction romane entièrement rénovée au fin 19ème siècle.
C'est une église remarquable par "son clocher à peigne" et par sa position au somment de la colline de Chavroches à 80m au dessus du cours de la Besbre.
La plaquette est disponible à l'entrée de la nef et elle peut être téléchargée en cliquant sur le lien ci-dessous :
LA GRIPPE ESPAGNOLE EN 1918
Mon grand-oncle, Claudius Valette, a été emporté par la "grippe espagnole", en Bulgarie, le 21 novembre 1918. L'armistice était signé mais son régiment, qui avait soutenu la guerre des Grecs contre les Bulgares, avait reçu l'ordre de se diriger vers Sofia puis vers Bucarest. Claudius est mort en chemin, avec 60 soldats de son groupe d'artillerie, tous frappés par cette épidémie brutale.
Michel Valette
Pour lire le dossier complet, cliquer sur le lien ci-dessous :
PUBLICITÉ DU 21 AOÛT 1915
Publicité extraite de la revue "L'illustration"
LES FONTAINES DE CHAVROCHES
Une fontaine est d'abord l’emplacement d’une source, une eau vive qui sort de terre. La fontaine est aussi la construction faite pour recueillir l'eau jaillissant d'une source ou amenée par un conduit.
La source était un endroit vital pour approvisionner la population. Les fontaines servaient aussi de point de repères, de lieu de rassemblement et certaines avaient des vertus particulières.
Le lieu-dit « foncartal », au nord du bourg, s’écrivait au 16ème « Fontquartal » et parfois « fontquartault » car le son « al » se prononçait « au » à l’époque. L’écriture du 16ème rend l’étymologie évidente : « les quatre fontaines », soit les quatre sources.
« Le grand chemin charral tendant du village de Fontquartal a la cure de Chaveroche et a la riviere de Besbre. »
Un autre document cite la fontaine Bonyot et la fontaine de Lespomat, situées toutes les deux en remontant de la Besbre, au sud du bourg de Chavroches.
« Dudit pont de Chavroches au long du ruisseau descendant de la fontaine Bonyot, laquelle fontaine joint à la grange et métairie de Jehan Merle. Et de ladite fontaine tendant de droit en droit à la fontaine de Lespomat, laquelle fontaine est dedans le pré dudit Merle. »
La fontaine des Paillots, la source du ruisseau qui alimente l’étang de Chavroches.
« premierement a prendre au Rifz descendant de la fontaine des maisons des paillotz. Icellui Rifz Venant et descendant droit a la fontaine de chaveroche appellee la fontaine saint pierre »
Le document situe La fontaine Saint Pierre juste au sud du bourg, à l’aplomb du château.
Ainsi, les documents du 16ème siècle citent 5 sources qui sont autant de repères pour limiter de zones qui donnent soit des avantages, soit des obligations fiscales.
Par exemple, on part de la source du ruisseau, on suit le ruisseau jusqu’à la rivière, puis on descend au fil de l’eau jusqu’à un autre ruisseau, avant de remonter vers le sommet de la butte de Chavroches.
Au 16ème, les limites ne sont pas représentées mais décrites par des repères simples dont l’emplacement est connu et fixe (rivière, ruisseau, sources).
Que sont devenues ces sources 5 siècles plus tard ? La source des Paillots existe toujours, mais les champs autour de Foncartal ont été drainés. L’eau coule encore au pied de la colline en allant vers la Pouge ou encore en contrebas du hameau des Lérets.
SAINT MICHEL
Saint Michel est représenté 4 fois dans l'église de Chavroches.
Saint Michel est, pour l’Église Catholique, le plus puissant et le plus beau de tous les Anges du Ciel. Il est l'archange guerrier qui soumet les révoltés contre Dieu. Chef de la milice céleste, il combat contre les anges rebelles et contre le Dragon de l'Apocalypse. Une partie de la légende de la fondation du Mont Saint-Michel est une transposition directe des textes bibliques.
Saint-Michel est souvent représenté en chevalier, combattant en armure, tenant une lance (parfois d'une épée de feu) et un bouclier orné d'une croix. Protecteur céleste, il terrasse le Démon. Il est généralement à pied tandis que saint Georges combat le Dragon à cheval, ce qui permet de les distinguer. Mais surtout, saint Michel est ailé tandis que saint Georges ne l'est pas. Le combat de l'archange Saint Michel contre le Dragon, figure allégorique du mal, est évoqué dans l'Apocalypse de Saint Jean. À l'issue de la lutte de l'archange contre les anges rebelles, le Dragon est terrassé et précipité sur la terre.
Saint Michel est surtout invoqué en Occident pour l'obtention de victoires militaires. Au Moyen Age, l'archange est également représenté pesant les âmes des morts car on le croyait capable de sauver les âmes de l'enfer. Il est aussi considéré comme l'Ange tutélaire de la France, depuis la construction de l'Abbaye du Mont Saint Michel, anciennement nommé « Mont Tombe ». Saint Michel est intervenu dans l'histoire de France, à de multiples reprises. Il guide ainsi Jeanne d'Arc pour libérer la France des Anglais.
LA PLACE DE L'EGLISE
La place de l'église a été refaite, ainsi que la descente du cimetière. Deux nouveaux lampadaires éclairent également la place.
L'église Saint Michel
De trop nombreuses publications reproduisent une affirmation de Marcel Génermont en 1938 dans son livre : "Les églises de l'Allier". C'est ainsi que Chavroches fut nommée par erreur "Église Saint-Cyr Sainte Julitte". Notre église a toujours été l'église de la paroisse St Michel.
Voici un document officiel du 8 juin 1725: la page d'en-tête du rapport de la visite épiscopale à Chavroches.
les vitraux de l'église
Les verriers Etienne et Mouilleron ont été les élèves d’un maître verrier connu au 19ème siècle : Laurent-Charles Maréchal, originaire de Metz, qui a perfectionné la fabrication industrielle des vitraux, devenant l’un des peintres verriers les plus importants de France, dans la deuxième moitié du XIXe. Signe de sa réussite, Laurent-Charles Maréchal crée les vitraux de l'exposition universelle de 1855.
Laurent-Charles Maréchal décède en 1887, à Bar-le-Duc, son dernier refuge pour rester en France, après la défaite militaire de 1870.
Trois vitraux de l'église de Chavroches ont été réalisés par l'atelier Etienne et Mouilleron de Bar-le-Duc : la rosace qui représente l'apparition de St Michel à Jeanne d'Arc, le vitrail de Saint Louis et celui de Sainte Magdeleine. Ils ont été réalisés en 1890 et posés pendant les travaux de rénovation de l'église.
LA TOUR DES PRISONS
Jusqu'à la Révolution Française, on a rendu justice à Chavroches, au nom du roi. Des hommes de loi habitaient le bourg (procureur, juge, greffier, sergent). Sans oublier la prison au château et son gardien de prison.
Un texte de juillet 1686, fait l'état des lieux d'un château délabré mais où habite le sieur "Chastellier", concierge et gardien du château. Les prisonniers sont gardés soit dans le grand donjon carré, soit dans un tour ronde qui sert "de cul de basse fosse". Voici l'état des lieux de l'époque en français modernisé :
« Il y a une grande tour carrée dans laquelle il y avait trois étages et chambres. Celle d’en bas est occupée par ledit Chastellier, concierge. Elle est pavée de grosses pierres ; la seconde, au second étage, l’on y monte par le dehors où il y a une échelle façon d’escalier, partie rompue. Auquel second étage, on y met les prisonniers. Le planché de cette chambre et celui du second étage sont entièrement ruinés, n’y ayant aucune chose que quelques solives au second. Cette tour est découverte en partie du côté nord et, en plus, a besoin d’être recouverte à taille ouverte. De plus, il y a une autre tour du côté de soleil levé, qui sert de basse fosse pour les prisonniers. Cette tour est ruinée, n’y ayant aucune couverture, porte ni autre bois. Dans laquelle on descend avec une échelle. Il n’y a que les murailles. En plus, le puits est vaque, étant en partie comblé. Ledit Chastellier a déclaré n’y pouvoir tirer de l’eau et n’y en avoir vu tirer de près de trente années qu’il est dans ledit château. »
LA PIERRE DES TOCANTS
La ferme des Tocants est située en limite de Chavroches, sur la commune de Trezelles, lorsqu'on a franchi le ruisseau Girardin appelé aussi "le Ris Tocant".
Pour connaître l'origine de cette pierre posée à l'entrée du chemin, il suffit de lire le texte rédigé par Gilbert Tain. Cliquer sur le lien :
SAINTE MAGDELEINE SAINT LOUIS
La tour des prisons est bien visible en passant par le sentier de la grotte du tisserand. En mai 1749, un prisonnier s'est tué en tentant de s'évader, comme le rapporte le curé Esbrard dans le registre paroissial.
LES FOURS A CHAUX
La grande époque dans l'histoire des fours à chaux se situe à partir des années 1830. Six fours à chaux étaient en activité jusqu’en 1971 à Chavroches.
La pierre était extraite manuellement et acheminée jusqu’aux fours dans des wagonnets. La chaux était livrée grâce aux chevaux qui laissèrent par la suite leur place à des camions.
On chargeait le four par le haut (une couche de pierre, une couche de charbon, une couche de pierre etc...). Il devait atteindre 1000°C. Les blocs chaux qui en étaient extraits étaient ensuite broyés. La poudre était ensuite stockée des sacs.
L’activité des fours à chaux a permis le développement de la ligne de chemin de fer, la ligne du tacot. La ligne de tacot était gérée par la Société des Chemins de fer Economiques.
MARGUERITE DU MOULIN BAVARD
Marguerite Chassot (1914-2002) a toujours vécu au Moulin Bavard où elle est née en 1914. La carte postale ci-dessus, du début du 20ème siècle, montre la passerelle du moulin qui était bien connue des habitants de Chavroches.
En 1991, la revue "Agir en pays jalignois" a publié un long portrait de Marguerite Chassot. Elle parle de sa vie au moulin. C'est un texte intéressant, à lire en téléchargeant le document. Il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous :
Marguerite Chassot : "La mémoire de la Besbre".
DES OUVRAGES DE REFERENCE
POUR CEUX QUI VEULENT LIRE DES OUVRAGES DE RÉFÉRENCE SUR CHAVROCHES
1/ Les fiefs du Bourbonnais par Aubert de la Faige et Roger de la Boutresse. Ouvrage téléchargeable sur
2/ CHAVROCHES par Marcel Jay
ouvrage consultable en ligne à l'adresse suivante :
http://fr.calameo.com/read/004048900cc645c84658a
3/ Chavroches en 1569 par Nicolas de Nicolay
Cliquer ici pour lire cette description de Chavroches
4/Bulletin de la Société d’Émulation du Bourbonnais de 1898 - article du docteur Bailleau -
L'AGRICULTURE ANCIENNE
Le lieu-dit les Paillots est très ancien. On trouve aussi sur Chavroches l'ancienne ferme des "petits Paillots". La ferme des "Paillots de Besbre", à Jaligny, fut longtemps occupée par une famille Minard au 16ème et au 17ème siècle. On retrouve les descendants de cette famille dans la ferme des Charrets, à Chavroches, pendant tout le 19ème siècle.
C'est donc l'occasion de publier une petite étude de l'évolution de l'agriculture à partir d'un bail de métayage de 1674 et d'une photo de labour en 1943.
Pour lire le document,
il suffit de cliquer sur le lien suivant:
Ancien four à chaux
VUE AÉRIENNE DES ANNÉES 1950
Une vue aérienne du bourg de Chavroches dans les années 1950. On distingue nettement le lavoir qui venait d'être terminé, sur le ruisseau au fond de l'étang actuel. On y descendait par un sentier.
LE TACOT A CHAVROCHES
Quelques photos inédites du train à Chavroches au temps du "tacot de Tr'zelles" : la gare de Chavroches et le déraillement de deux wagons chargés du charbon des mines de Bert.
Comment fonctionnait un four à chaux
Aux temps gallo-romains
Chavroches est situé en plein centre du canton de Jaligny. Du latin cava rupes (rocher creusé ou vaste grotte), Chavroches tire son nom d'une grotte sur laquelle aurait été bâti le château.
Les premières traces de l'histoire de Chavroches : la découverte de vases romains et de statues provenant d'un temple païen, sur l'emplacement de l'église actuelle, atteste l'ancienneté de l'occupation du site. Il a également été trouvé, à l'emplacement du lieu-dit "Les Chenaux", entre Chavroches et Jaligny, le long de la Besbre, une abondance inhabituelle de tessons de céramique datant de l'époque gallo-romaine, une urne pratiquement intacte contenant des fragments osseux calcinés. Les Chenaux auraient en effet été le lieu d'une nécropole. Vers les années 1900, le Docteur Bailleau avait déjà signalé "des cimetières gallo-romains des carrières des Chenaux et des Genins".
VUES AÉRIENNES
Une galerie de photos aériennes est disponible dans le dossier PDF ci-dessous. Il suffit de cliquer sur le lien :
LA BESBRE VUE PAR HENRI VIALLET
Le document ci-dessous date de 1991. Henri Viallet, après sa retraite de la police, s’était reconverti dans l’hôtellerie et avait gagné du temps pour la pêche et l’écriture. Il a été un excellent connaisseur du milieu naturel de la Besbre. C’est à ce titre qu’il a été consulté par les services de l’Etat avant la publication d’un décret de protection du biotope de la Besbre.
Dans son commentaire du projet de décret, il parle plus particulièrement du milieu de vie d’un poisson très sensible à l’environnement : l’ombre. Ainsi, en 1991, il apparaît comme un pionnier de la protection de la nature.
REGARD D'HISTOIRE -LA CRISE de 1694
La fin du 17ème siècle, "le siècle de Louis XIV", a été marqué par une terrible crise : misère, famine et épidémies. En une année, on estime que le royaume a perdu 10% de sa population.
Un prêtre de la région, de la paroisse de St Prix, a raconté dans des pages libres de son registre paroissial, la terrible période dont il a été le témoin et l'acteur.
Ci-dessous, la première page originale de sa narration.
Il suffit de cliquer sur les deux liens donnés pour avoir la transcription de son texte en français modernisé et une analyse, publiée en 1984 par Michel Maréchal, de la crise dans le Bourbonnais.
Du Moyen Age à nos jours
Chavroches peint par Jean Bougret
Jean Bougret (1922-1979) était un enseignant montluçonnais, peintre autodidacte. Il était le peintre des gitans, des fêtes foraines, des scènes animées, des marchés mais aussi des mares et des creux d'eau claires.
Jean Bougret fut un peintre reconnu dont la première exposition eut lieu en 1948. Il exposa à Montluçon, dans plusieurs villes de France et au Japon.
Il signe ici une vue de Chavroches qu'il offrit à un collègue enseignant, originaire de la commune.
CHAVROCHES par M.A. BOULLARD
Marie Antoinette Boullard-Devé (1887-1966)
Elle est la fille de la plus jeune sœur de Georges Tessier (1855-1929), docteur en médecine et maire de Chavroches de 1887 à 1906.
En 1908, elle étudie aux Beaux Arts et y rencontre son premier mari, Pierre Fournier des Corats, un sculpteur dans le style art déco, d’origine bourbonnaise. Ils ont un garçon vers 1917 mais se séparent après la guerre. Dans les années 1920, elle est devenue Marie Antoinette Boullard- Devé et vit en Indochine avec son nouveau mari. Elle peint les habitants de ce pays, visite le Cambodge et le temple d’Angkor.
La plupart de ses œuvres connues datent de cette période. Elle illustre un grand livre, « Vision de l’Indochine », de 20 lithographies. Cet ouvrage est publié à 250 exemplaires.
Après quelques années passées à Paris pendant la seconde guerre mondiale, elle va rejoindre son fils André des Corats à Tanger où il est architecte, chargé de l’amélioration du port. Elle y finira ses jours en 1966.
Ci-dessous :
1/ Une peinture à l'huile et une aquarelle de jeunesse peintes en 1905 : une vue de Chavroches et une vue de la maison Tessier, place du marronnier.
2/Deux aquarelles qui représentent le "moulin bavard"
Cliquer sur une image pour voir en plein écran.
St MICHEL à Chavroches et Nizerolles
Deux représentations de Saint Michel, réalisées par l'atelier du peintre décorateur lapalissois,Louis Mazzia, vers 1900.
A gauche, le St Michel de Chavroches, signé et daté de 1902. A droite, le St Michel de Nizerolles, réalisé par le même atelier mais ni signé, ni daté.
Ce sont deux fresques, peintes avec la même technique et le même modèle et toutes les deux situées dans l'abside.
UN MINISTRE A CHAVROCHES .... EN 2003
C'était en novembre 2003, le ministre de l'éducation de l'époque, Xavier Darcos, visitait les écoles primaires de la région. Il passa ainsi à Chavroches pour montrer son attachement aux écoles rurales et à leur mise en valeur grâce à la structuration des "Réseaux Ruraux d'Education" ou RRE.
Dans l'article de la Montagne, joint ci-dessous, Xavier Darcos insiste sur le fait qu'il veut maintenir les écoles en milieu rural pour ne pas regrouper tous les moyens au chef lieu de canton. Le réseau d'école permet de mutualiser les moyens pour un projet pédagogique commun.
Cliquer sur le lien pour lire un court historique des RRE.
L’ÉTANG DE CHAVROCHES
L'étang de Chavroches, dans sa forme actuelle, a été inauguré le 14 juillet 1991 pendant le mandat de M. Pierre Boutonnat, maire.
L'étang était en eau au 16ème siècle et il l'était encore en 1744 comme le précise une acte de naissance : "Jeanne Jacob, née dans la maison de Beaudéduit, près de l'étang de Chaveroche".
On ignore quand il fut appelé "l'étang Bataille" et quand il fut asséché. Jusqu'au milieu du 18ème au moins, le lieu-dit s'appelait "Beaudéduit".
Une chose est certaine : en 1900, l'emplacement de l'étang était un pré et des peupliers longeaient le ruisseau. La photo prise à l'époque par Georges Tessier ne laisse pas place au doute.
La remise en eau a donc eu lieu en 1990-91, ce qui a été l'occasion pour la revue "INFO trente" de publier un article. A cette époque "INFO trente" était la revue des 30 communes du pays de Lapalisse, Le Donjon et Jaligny.
Voici ci-dessous la photocopie de l'article consacré à Chavroches et la photo du docteur Georges Tessier, maire de Chavroches en 1900.
Télécharger le PDF en cliquant sur le lien ci-dessous.